Tables rondes
Table ronde 1 : Leçons et réponses pour la sauvegarde des ZICO face à la pression du développement en Afrique
Animateur : Ken Mwathe L’Agenda 2063 de l’Afrique envisage une Afrique prospère basée sur une croissance inclusive et un développement durable. Des projets phares dans les domaines de l’énergie, des infrastructures et de l’agriculture contribueront à la réalisation de cet agenda, associé à la volonté d’atteindre les objectifs de développement durable (ODD). Le développement de l’Afrique aura un coût élevé pour les zones importantes pour la conservation des oiseaux (ZICO). Déjà, 59 des 1300 zones importantes pour la conservation des oiseaux (ZICO) en Afrique sont classées comme ZICO en danger en raison de la forte pression du développement. Cette table ronde examinera les approches de sauvegarde des ZICO ainsi que les nouvelles mesures de sauvegarde. |
Table ronde 2 : Participation de la communauté à l’avitourisme, à la recherche ornithologique et à la conservation des oiseaux
Animateur : M. Andrew de Blocq
L’implication des communautés locales dans la préservation des actifs naturels est essentielle au succès de la conservation. L’adhésion des communautés nécessite une consultation, une inclusion, une représentation et des avantages locaux. Une façon de faire bénéficier les communautés locales est la création d’emplois directs et indirects par la recherche, la conservation et l’avitourisme. Nous aimerions faciliter une discussion sur les endroits en Afrique où il existe des exemples d’implication efficace de la communauté concernant l’avitourisme, la recherche ornithologique et les projets de conservation des oiseaux. Une courte présentation sur le travail du programme Empowering People de BirdLife Afrique du Sud donnera un certain contexte, après quoi nous inviterons les contributions et les points de discussion de l’assemblée. |
Table ronde 3. Recherche et conservation du héron africain : Liens mondiaux, impacts locaux
Animateur : Doug Harebottle Ce symposium et cet atelier sont ouverts à tous ceux qui font des études sur la biologie et/ou la conservation des Ardeidae (« hérons »), ou qui mettent en œuvre des activités de conservation des hérons. Il constituera un forum pour les chercheurs et les défenseurs des hérons qui pourront se rencontrer, face à face, et échanger des idées, des résultats et des problèmes liés à leurs travaux. En organisant cette réunion en Afrique, nous invitons particulièrement les chercheurs africains à présenter leurs travaux dans une atmosphère décontractée et ouverte, parmi d’autres collègues internationaux. Nous espérons que les participants discuteront de questions nouvelles pour le continent africain, ainsi que de questions mondiales communes. Les chercheurs africains peuvent apprendre à connaître leurs collègues impliqués dans la recherche et la conservation des hérons dans d’autres parties du monde et vice versa, afin de construire et d’intensifier notre réseau mondial de spécialistes. Nous encourageons ceux qui travaillent avec des hérons préoccupés par la conservation à présenter de nouveaux résultats de leurs activités lors du symposium. Nous sommes également impatients de connaître les études/observations plus classiques sur le suivi des populations, les répartitions géographiques nationales des espèces, la biologie de la reproduction, le comportement, la taxonomie, les mouvements et la migration, etc. Conformément au thème de ce PAOC (Urbaniser l’Afrique et ses effets sur les oiseaux), l’atelier se concentrera sur la gestion des héronnières en milieu urbain et l’élaboration de lignes directrices qui peuvent être utilisées pour aider à minimiser leur impact négatif. Des études de cas provenant d’autres continents peuvent également être utiles pour alimenter la discussion, l’urbanisation des héronnières étant un phénomène mondial. Pour toute question, veuillez contacter Doug Harebottle doug.harebottle@spu.ac.za ou Chip Weseloh Chip.Weseloh@ec.gc.ca |
Table ronde 4 : Les applications d’ornithologie et l’utilisation de la technologie dans la conservation des oiseaux
Animateur : Dr John Caddick De nombreuses personnes en Afrique s’intéressent aux oiseaux mais n’ont pas les moyens d’acheter un guide de terrain. Cependant, beaucoup d’entre eux possèdent un smartphone moderne ou un appareil similaire. Un nombre croissant d’applications ornithologiques sont maintenant disponibles et couvrent de nombreux pays d’Afrique. Par exemple, Birds of Africa, qui couvre le Nigeria, le Bénin, le Togo et le Ghana dans sa première version, et Birds of Zambia ont tous deux été publiés récemment. L’objectif de la table ronde est de discuter de la valeur potentielle de ces applications à des fins de conservation. Le format proposé est le suivant : 3 ou 4 développeurs d’applications consacreront chacun 5 minutes à la description de leur application, suivie d’une discussion qui couvrira les exigences du point de vue de la conservation, notamment les utilisateurs potentiels, le contenu, les capacités, la technologie et le coût. |
Table ronde 5 : Crises de déforestation dans la région du Zambèze – priorités de gestion de la conservation pour les oiseaux des bois
Animateur : Anthony Cizek Une grande partie de la région du Zambèze, dans le centre-sud de l’Afrique, est naturellement couverte de forêts, qui abritent une avifaune riche et particulière. Si la région dans son ensemble peut être considérée comme bien conservée, certaines parties connaissent des crises de déforestation qui menacent l’avifaune. L’avifaune des forêts n’est pas répartie uniformément dans toutes les parties de la région. Il existe un certain nombre de types différents de forêts zambéziennes, et l’avifaune de la forêt de Miombo, par exemple, est différente de celle de la forêt de Mopane. En outre, le Miombo humide abrite une avifaune plus riche que le Miombo sec. En outre, les grandes vallées fluviales sont des barrières biogéographiques qui fragmentent naturellement les distributions des forêts de plateau, ce qui entraîne des différences spécifiques et sous-spécifiques dans les avifaunes de plateau. Tous les pays de la région – Angola, RDC, Malawi, Mozambique, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe – sont touchés à un certain degré, et des populations isolées de spécialistes des bois du Zambèze ont disparu. Cette table ronde a pour but de développer un réseau de personnes intéressées par la recherche sur les avifaunes des forêts zambéziennes, de découvrir les travaux en cours et de dresser une liste des priorités en matière de gestion de la conservation des avifaunes des forêts zambéziennes. Quelles espèces, sous-espèces et populations sont en danger, et où ? |
Table ronde 6 : Intégrer la science, la politique et le développement pour traiter l’utilisation non durable des terres liée au déclin des oiseaux terrestres migrateurs d’Afrique-Eurasie
Animateur : Samuel Temidayo Osinubi Une collaboration à l’échelle de la voie de migration est essentielle pour soutenir efficacement les actions de conservation des oiseaux terrestres migrateurs en déclin dans l’ensemble de leur aire de répartition. Ce symposium rassemble des experts africains de la science, des politiques et du développement en collaboration avec des experts européens pour examiner la science, les politiques et les pratiques existantes, et explorer des opportunités transdisciplinaires innovantes pour assurer la conservation des oiseaux terrestres migrants dans des paysages en évolution rapide. Plus précisément, nous visons à:
|
Table ronde 7: Renforcer les partenariats pour la conservation le long de la voie de migration de l’Atlantique Est
Tim Dodman La voie de migration de l’Atlantique Est est une route migratoire majeure reliant l’Arctique à l’Afrique australe, vitale pour les oiseaux migrateurs paléarctiques et intra-africains, en particulier les oiseaux d’eau. Le littoral atlantique de l’Afrique abrite un réseau vital de zones humides où les oiseaux se rassemblent pendant leur saison de non-nidifcation, tandis que certaines abritent d’importantes colonies de reproduction. En outre, l’ensemble de la ceinture côtière revêt une importance cumulative pour un large éventail d’espèces non grégaires. Une conservation efficace des oiseaux migrateurs exige que les pays et les partenaires travaillent ensemble et partagent leurs données, leurs expériences et leurs actions communes. Certaines initiatives relatives à la voie de migration sont en cours, notamment l’initiative de BirdLife relative à la voie de migration de Est-Atlantique et l’initiative relative à la voie de migration de la mer des Wadden, tandis que l’initiative « Migratory Birds for People » relie les centres de zones humides le long de la voie de migration. Un nouveau projet régional majeur, d’une durée de huit ans, devrait démarrer en 2023. Il sera axé sur le renforcement de la résilience climatique le long de la partie africaine de la voie de migration, notamment en ce qui concerne les oiseaux migrateurs. Le programme prévu adoptera une approche axée sur la voie de migration, avec une action directe sur plusieurs sites. Cette table ronde présentera l’itinéraire de migration, les initiatives des partenaires et le nouveau projet, et sollicitera l’engagement et la contribution de tous les pays de l’itinéraire de migration, y compris des exemples d’impacts climatiques sur les sites et les oiseaux et des solutions potentielles. |
Table ronde 8 : Principaux effets sanitaires sur les oiseaux de proie
Animateur : Dr Brahim Haddane La vie de nombreux oiseaux et des oiseaux de proie en particulier souffre de nombreux troubles liés à leur santé et à leur capacité de voler pour la migration ou pour se nourrir. Certains sont traumatiques, d’autres sont causés par des agents pathogènes (virus, bactéries, parasites ou champignons ou toxiques). La table ronde offrira l’occasion à de nombreux experts d’aborder le sujet des oiseaux de proie et des menaces auxquelles ils sont confrontés au cours de longues périodes de migration à travers les voies qu’ils suivent et de recommander des actions aux dirigeants des pays de passage à prendre au niveau national pour réduire ou éviter les lourdes pertes d’oiseaux enregistrées chaque année. |
Table ronde 9 : Rencontrez les rédacteurs – le processus de publication démystifié
Animateur : Alan Lee L’utilisation de la science citoyenne pour générer de grands ensembles de données sur une gamme de taxons et d’échelles spatiales a pris de l’ampleur au cours des dernières décennies. Le projet d’atlas des oiseaux d’Afrique comprend le deuxième projet d’atlas des oiseaux d’Afrique australe (SABAP2) et les projets Bird Map du Nigeria et du Kenya, qui mettent en œuvre le protocole de suivi « BirdMap ». Ce protocole encourage une couverture spatiale et temporelle standardisée à l’aide de divers mécanismes d’incitation, ce qui permet d’obtenir un ensemble de données vérifiées sur la répartition des oiseaux. Le projet d’atlas des oiseaux d’Afrique est basé sur le projet SABAP2, lancé en 2007 et s’appuyant sur le succès du projet SABAP1 mené de 1986 à 1997. Une enquête menée en 2021 sur l’utilisation des données a donné lieu à 717 articles, dont des pages web, des livres, des publications et des rapports d’évaluation de l’impact environnemental. Au moins 150 articles évalués par des pairs ont utilisé les données, qui sont disponibles gratuitement via le site Web du projet ou le GBIF. Cependant, l’utilisation des données devrait nécessiter une analyse minutieuse des schémas spatiaux et temporels de la contribution avant de faire des inférences. La contribution au monde scientifique mondial de la recherche biologique est importante et, avec la valeur pour les praticiens de l’évaluation de l’impact environnemental, les défenseurs de l’environnement, les gestionnaires de zones protégées et les scientifiques citoyens, elle souligne l’incroyable valeur de ce projet. |
Table ronde 10 : En route, en route, en route : Lutter contre l’abattage illégal d’oiseaux pour des raisons religieuses
Organisateurs : Salisha Chandra, BirdLife International and Darcy Ogada, The Peregrine Fund Le commerce des parties du corps des oiseaux pour une utilisation fondée sur des croyances a été identifié comme l’une des causes anthropiques les plus importantes de la mortalité aviaire et du déclin des populations (Alves et al. 2013, Boakye et al. 2019). L’utilisation fondée sur des croyances comprend l’utilisation d’oiseaux entiers, vivants ou morts, ou de parties de leur corps à des fins traditionnelles ou spirituelles. Il s’agit notamment de la médecine traditionnelle, à la fois préventive et thérapeutique, et de la guérison spirituelle, y compris des maladies folkloriques, de la protection spirituelle, de la voyance ou de l’apport de succès ou de malheurs à autrui (Boakye et al. 2019). Si cette pratique est largement connue en Afrique de l’Ouest, elle est répandue dans toutes les régions du continent (Williams et al. 2014). L’utilisation fondée sur les croyances est l’une des nombreuses utilisations d’animaux sauvages qui constituent collectivement le commerce de la faune sauvage, et les données recueillies en Afrique suggèrent qu’elle est liée au commerce de la viande de brousse et des oiseaux vivants, et qu’elles sont probablement interdépendantes (Buij et al. 2016, R. Martin comm. pers.). Étant donné la gravité du commerce pour une utilisation fondée sur des croyances, et en particulier parmi les groupes d’espèces qui se trouvent déjà à de faibles densités, comme les rapaces et les calaos, il est probable qu’il contribue de manière significative aux déclins au sein de ces groupes en Afrique (Buij et al. 2016, Williams et al. 2014). Cette table ronde vise à 1) discuter les moyens d’accroître de façon marquée la sensibilisation locale et internationale à la gravité de cette menace pour les oiseaux d’Afrique, et 2) partager des expériences sur les meilleurs moyens de la combattre. Notre objectif principal est d’attirer l’attention sur cette menace croissante et importante qui affecte de nombreux taxons et qui, nous l’espérons, favorisera une action de conservation collaborative indispensable. Alves RRN, Leite RC, Souto WMS, Bezerra DMM, Loures-Ribeiro A. 2013. Ethno-ornithologie et conservation des oiseaux sauvages dans la Caatinga semi-aride du nord-est du Brésil. Journal of Ethnobiology and Ethnomedicine 9: 14. Boakye, M.K., Wiafe, E.D. and Ziekah, M.Y., 2019. Utilisation ethnomédicale des vautours par les tradipraticiens au Ghana. Ostrich, 90(2), pp.111-118. Buij, R., Nikolaus, G., Whytock, R., Ingram, D.J. and Ogada, D., 2016. Commerce de vautours et autres rapaces menacés pour le fétiche et la viande de brousse en Afrique de l’Ouest et du Centre. Oryx, 50(4), pp.606-616. Williams VL, Cunningham AB, Kemp AC, Bruyns RK (2014) Risques pour les oiseaux commercialisés pour la médecine traditionnelle africaine : Une évaluation quantitative. PLoS ONE 9(8): e105397. doi:10.1371/journal.pone.0105397. |
Table ronde 11 : Innovation dans la conservation des vautours : une perspective socio-environnementale
Animateurs : William Bowerman et Linda van den Heever La « crise des vautours africains » décrit le long déclin des populations de la plupart des espèces de vautours de l’Ancien Monde en Afrique qui ont récemment été reclassées dans la catégorie « en danger critique d’extinction » ou « en danger » selon les critères de l’UICN. De multiples facteurs de stress d’origine humaine ont été associés à la mortalité des vautours, notamment : l’empoisonnement, directement et en association avec le braconnage des éléphants ; indirectement et en association avec les impacts secondaires des poisons utilisés dans les conflits entre l’homme et la faune ; la récolte pour le commerce des parties de vautours pour la médecine et les croyances traditionnelles ; l’altération de l’habitat par des changements dans l’utilisation des terres ; le saturnisme dû à la chasse au gros gibier ; la noyade dans les barrages agricoles ; et les collisions avec les infrastructures électriques, entre autres menaces. Le National Socio-Environmental Synthesis Center (SESYNC), financé par la National Science Foundation des États-Unis, a été créé pour produire des résultats concrets en matière de conservation, grâce à des équipes de scientifiques sociaux et environnementaux qui s’attaquent à des problèmes concrets. Pendant cinq ans, plus de 20 scientifiques et décideurs politiques ont travaillé ensemble sur ce problème. Nous présentons ici de nouvelles approches, notamment l’utilisation du cadre « One Health », l’éthique de la conservation, la criminologie de la conservation, les relations entre l’homme et le vautour, le rôle des vautours dans les maladies et la conservation communautaire. |
Table ronde 12: Messager sagittaire- Plan d’action de conservation à long terme
L’inscription du Messager sagittaire ou le Serpentaire (Sagittarius serpentarius) sur la liste rouge de l’UICN des espèces en danger a mis en évidence la nécessité d’une action immédiate pour arrêter le déclin régional de ce rapace africain emblématique. Alors que l’espèce est présente dans la majeure partie de l’Afrique subsaharienne, à l’exception des forêts tropicales d’Afrique centrale, elle a déjà pratiquement disparu d’Afrique de l’Ouest et est limitée aux zones protégées d’Afrique de l’Est. Cette situation a motivé BirdLife Afrique du Sud à organiser un atelier de planification de la conservation, comprenant une évaluation de la viabilité de la population et de l’habitat (PHVA), facilitée par le groupe de spécialistes de la planification de la conservation de l’UICN SSC. Les résultats de cet atelier seront discutés lors de cette table ronde pour la planification d’une stratégie à long terme pour la conservation de l’oiseau secrétaire, et pour informer la rédaction d’un plan d’action de conservation pour l’espèce dans tous les états de l’aire de répartition africaine. Nous encourageons donc les participants des états de l’aire de répartition en Afrique à se joindre à cette table ronde afin que nous puissions initier des collaborations à l’échelle continentale pour sauver cette espèce. |
Table ronde 13 : Construire une collaboration à l’échelle du continent pour sauver les vautours Animateur : Salisha Chandra
Animateur : Salisha Chandra Au cours des 50 dernières années, les populations de vautours africains ont diminué de 80 à 97 % (plus de 92 % pour cinq espèces). Arrêter et inverser ce déclin est l’un des plus grands défis de la conservation en Afrique. Il s’agit d’une question extrêmement complexe, car les menaces qui pèsent sur les vautours varient d’une sous-région à l’autre et s’inscrivent dans le contexte plus large du défi permanent que représentent le braconnage, l’utilisation non durable des ressources, les attitudes et croyances culturelles et l’absence de mesures de protection de la biodiversité dans de nombreux plans de développement. Compte tenu de la diversité et de la transversalité des menaces auxquelles les vautours sont confrontés et de la variété des compétences et des ressources nécessaires pour y faire face, des approches collaboratives et inclusives sont essentielles pour faire la différence. En s’attaquant à la crise en Asie du Sud, le réseau de réponse collective « Saving Asian Vultures from Extinction » (SAVE) montre ce que les organisations peuvent réaliser lorsqu’elles se rassemblent autour d’une vision commune. Cette table ronde vise à discuter des opportunités et des défis liés au développement d’un consortium similaire en Afrique. Notre objectif global est de favoriser une action de conservation collaborative et coordonnée afin de stopper et, espérons-le, d’inverser le déclin de ce groupe d’oiseaux majestueux. |
Table ronde 14 : TBA |
Table ronde 15 : TBA |
Table ronde 16 : le Baguage d’Oiseaux en Afrique (Afring) Responsable : Dr H Dieter Oschadleus Des activités de baguage sont menées en Afrique depuis plus de 70 ans, et le baguage est un outil important dans les travaux d’enquête et les études continues sur la biologie, la survie et les mouvements des oiseaux. Les orateurs invités présenteront un aperçu des programmes de baguage SAFRING et d’Afrique de l’Est, ainsi qu’un bref historique du baguage en Afrique. Les participants à la table ronde auront l’occasion de faire le point sur les projets et activités de baguage récents ou en cours dans leur région et/ou sur les groupes d’espèces sur lesquels ils travaillent. L’objectif principal de cette table ronde est de créer un réseau avec toute personne impliquée dans le baguage, ou intéressée par le baguage, en Afrique. Des discussions auront lieu sur la standardisation de la formation, la biométrie et la conservation des données. Il y aura un retour d’information et des discussions sur l’accès aux ressources liées au baguage (guides de formation au baguage, guides d’identification des oiseaux, publications sur le baguage, etc). Enfin, les futures activités de baguage et les possibilités de mise en réseau seront discutées. |